La spasmophilie et le coaching comportemental

Coaching comportemental

Publié le : 02 juin 20219 mins de lecture

La spasmophilie, bien que non considérée comme une véritable maladie, peut être assez handicapante dans la vie quotidienne. En effet, elle crée un sentiment de malaise qui rend la personne atteinte vulnérable et peu confiante en elle. Actuellement, aucun traitement officiel n’a été déclaré pour traiter la spasmophilie. Toutefois, le coaching comportemental s’avère être très efficace pour alléger ses symptômes. Mais comment ça marche exactement ?  

La spasmophilie : définition, causes et symptômes

La spasmophilie est un syndrome fonctionnel qui associe plusieurs symptômes variables d’une personne à une autre. Elle se définit comme un trouble du système neurovégétatif indétectable par les examens médicaux. Elle touche principalement les femmes et l’on note un caractère héréditaire puisqu’un parent atteint le transmet habituellement à ses enfants.

Mis à part la prédisposition génétique, il n’existe pas de réelle cause de la spasmophilie. D’ailleurs, on ne devient pas spasmophile, c’est un état inné. Toutefois, elle a tendance à se développer chez un individu hypersensible avec une instabilité physiologique.

Lors d’une crise de spasmophilie, la personne présente une hyperexcitabilité neuromusculaire. Elle va développer une réaction disproportionnée à une stimulation extérieure. Le stimulus extérieur peut être la peur, la colère, l’angoisse ou même le bonheur. Un traitement doit être instauré pour que le corps réagisse normalement malgré ce syndrome. Pour trouver un coach comportemental qui pourra vous aider à y faire face, cliquez ici.

La spasmophilie n’a pas de symptômes définis puisqu’elle s’exprime différemment chez chaque patient. Certains signes sont tout de même très évocateurs. Elle entraine une fatigabilité profonde souvent accompagnée d’un malaise. Une gêne thoracique à type de compression se fait ressentir au début de la crise. La respiration devient pénible et se traduit par une hyperventilation. Des douleurs articulaires et osseuses peuvent accompagner ces manifestations.

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Le coaching comportemental pour traiter la spasmophilie

Depuis quelques années, le coaching comportemental est considéré comme l’un des meilleurs traitements de la spasmophilie. En effet, cette méthode agit sur la pensée et l’attitude du patient pour qu’il puisse mieux contrôler ses émotions. Son efficacité a été prouvée puisque la majorité des personnes qui ont eu recours à cette pratique ont pu résoudre leur problème.

Le coaching comportemental ne fait usage d’aucun médicament pharmaceutique. Il s’agit uniquement d’un accompagnement pour aider le patient à se débarrasser de sa maladie naturellement. Ainsi, il ne risque aucun effet secondaire lié à des substances toxiques. Il est à noter que la prise en charge ne se fait pas en quelques jours. Elle peut prendre plusieurs semaines suivant la gravité de la spasmophilie symptômes. Il faudra alors une certaine patience pour éviter une éventuelle récidive.

L’objectif principal du coaching comportemental est de prévenir l’apparition d’une crise de spasmophilie. Une personne qui n’a manqué aucune séance et qui a suivi toutes les recommandations du coach ne devrait plus souffrir de cette pathologie.  

Cette technique se fait en trois étapes. Une analyse poussée de l’état de santé de l’individu doit se faire au préalable pour identifier la nature exacte de ses maux. Suivant le résultat, il faudra faire une restructuration cognitive et une régulation de son caractère pour qu’il puisse réagir normalement à son environnement.

Le coaching comportemental pour se relaxer

Le spasmophile a du mal à se relaxer lorsqu’il fait face à une situation stressante. Il lui arrive même de paniquer sans aucune raison apparente. Le coaching comportemental permet de corriger cet état de nervosité permanente. Il comporte généralement une séance de relaxation pour permettre au patient de mieux gérer ses émotions.

Quelques exercices complémentaires doivent être associés au coaching pour un meilleur résultat. Le yoga et la méditation prolongée sont conseillés pour une bonne maitrise de soi. La sophrologie, une forme particulière d’hypnose, permet également de dominer ses sentiments.

Après chaque séance, il est recommandé de se reposer suffisamment et d’avoir un sommeil régulier. Un régime alimentaire saine et équilibrée doit être commencé. Le mode de vie du patient doit radicalement changer, car un mauvais comportement au quotidien risque d’avoir des impacts négatifs sur la spasmophilie. Même avec un coaching comportemental bien mené, la maladie ne pourra pas être entièrement éradiquée.

La spasmophilie se traduit souvent par une crise d’angoisse. Il s’agit d’une réaction psychologique et physique suite à une peur démesurée. Le coaching s’avère être très efficace pour faire face à cette crise de panique. Le professionnel pourra mettre en place une stratégie d’accompagnement sur mesure afin de soulager les symptômes du patient. Il pourra donner des conseils sur la façon de gérer ses émotions en dehors des séances.

Le coaching comportemental pour traiter les symptômes de la spasmophilie

La peur, en plus d’être une cause de la manifestation d’une crise de spasmophilie, est également un signe de ce mal-être. Tous les types de phobies peuvent entrainer l’apparition des symptômes. Que ce soit une simple peur des rongeurs ou des phobies bien plus handicapantes comme la claustrophobie, le patient peut rapidement perdre le contrôle.

Le coach comportemental va aider à vaincre cette angoisse. Pour ce faire, il effectuera une analyse approfondie de la phobie et mettra en place une stratégie efficace pour l’éradiquer. La prise en charge sera différente d’un individu à un autre même s’il s’agit d’une même crainte. En effet, un traitement qui marche pour une personne pourrait ne pas convenir à un autre. C’est pour cela que le coach est indispensable puisque chacune de ses interventions est personnalisée.

Les spasmophiles ont tendance à exprimer ses émotions de façon exagérée. Ils ont donc une forte chance de développer une dépression à long terme puisqu’ils sont très réceptifs à la douleur et la tristesse. Le coaching comportemental permet de se maitriser et d’éviter une crise de tétanie qui est une aggravation de ce trouble.

Lorsque la spasmophilie n’est pas bien traitée, elle peut entrainer certaines complications sur le plan psychologique. Faire appel à un coach comportemental dès l’apparition des premiers symptômes permet de maitriser la maladie à temps. Toutefois, il peut toujours agir à n’importe quel stade de ce syndrome.

Les autres traitements de la spasmophilie

Il est à noter que la spasmophilie est plus un terrain qu’une maladie. C’est-à-dire qu’on ne peut pas en guérir. Les traitements visent juste à atténuer ou faire disparaitre les symptômes pour que le patient puisse vivre normalement. Si la prise en charge est interrompue brusquement, les manifestations peuvent réapparaitre. En plus du coaching comportemental, la spasmophilie traitement est très variée.

L’aromathérapie et la phytothérapie sont très sollicitées pour maitriser ce syndrome. Elles consistent à utiliser des plantes, plus précisément leurs principes actifs, afin de bénéficier de leurs vertus thérapeutiques. Elles sont efficaces contre l’attaque de panique et les troubles du sommeil. Toutefois, un suivi par un spécialiste est toujours préconisé pour ne pas risquer un surdosage. Après une crise de spasmophilie, un massage avec des huiles essentielles permet d’atténuer les douleurs.

La spasmophilie s’accompagne souvent d’une carence en oligoéléments. Il est donc important de rééquilibrer le taux de nutriments du patient pour rétablir son état de santé. Le calcium va l’aider à réguler son rythme cardiaque tandis que le phosphore soulagera les douleurs causées par la contraction musculaire exagérée. Les vitamines et le magnésium seront administrés pour lui redonner ses forces.

En cas de crise d’angoisse majeure accompagnée d’un trouble anxieux, le médecin peut suggérer un traitement antidépresseur. Il s’agit d’une solution de dernier recours, car le risque de dépendance est assez élevé.

 

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